Monsieur,
Une lettre d’un résidant de Montréal Ouest le 16 juillet décrit l’outrage subit à cause de la ville adjacente de Lachine, parce qu’elle a loué le parc René Lévesque lui servant à un évènement spécial pour véhicules tout terrain (VTT). Ce résidant clame que ceci a chassé les joggers et les oiseaux carouge à épaulettes. Quoique sympathique aux arguments de l’auteur, je suggère qu’il questionne d’abord les problèmes créés par son propre gouvernement municipal.
En 2010, Montréal Ouest a arbitrairement érigé une barricade de trafic pour scinder un accès datant de plus de 100 ans aux résidants de Lachine, ne les laissant qu’avec une seule voie d’accès au reste de la planète, sur une pente de 13 degrés.
Le service des incendies de Montréal (SIM) a étudié la question et listé cinq raisons pour lesquelles la barricade ne devrait jamais être érigée, incluant l’encombrement d’un corridor d’évacuations d’urgence pour plus de mille (1,000) personnes vivant près de voies ferrées où se transportent régulièrement des cargos toxiques. Cependant, Montréal Ouest a ignoré cet avis. Montréal Ouest a ignoré également deux études de trafic ainsi que des communications du service de police qui décrivent toutes la barricade comme étant dangereuse et pas nécessaire.
Les VTT ont maintenant quitté le parc René Lévesque, les joggers et les oiseaux ont repris leur territoire. Durant ce temps, Montréal Ouest insiste sur la permanence de la barricade et continue d’ignorer systématiquement toutes les évidences ou tout dialogue ouvert sur la question.
Cela veut donc dire que les résidants de Lachine sont nerveux dès qu’ils entendent un train de transport de marchandises passer.
Pour toute information sur cette outrageuse histoire vraie, lisez le HHH
Salutations,
John Symon
111 Rosewood
Lachine
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